[...]A beaucoup, au début des années soixante, Meyer apparaît bel et bien comme le plus cinéaste de nos nouveaux cinéastes (Storck : « C’est ce genre de films que notre pays tout entier attend depuis (...)
Après un siècle d’existence, le cinéma a quitté son lit. Excédé par le formatage qu’elle suppose, il a rompu les digues où l’enserrait l’industrie. Son territoire s’est élargi. Encouragé par les nouvelles (...)
L’idée nous travaille depuis longtemps et nous en avons régulièrement évoqué le besoin, le projet : constituer un groupe de travail, au départ d’un noyau d’étudiants de l’Insas, mais hors de tout (...)
La deuxième session de notre groupe de travail se tiendra comme promis ce prochain samedi 21 avril, de 10h à 12h30 et de 13h15 à 15h, dans la salle 35 de l’Insas (8 rue Thérésienne à Bruxelles, métro (...)
Pour riposter à cette absence revendiquée de l’auteur, des cinéastes se mettent dans les images qu’ils filment. Manière de signer deux fois plutôt qu’une leurs films. La présence tangible, visible du (...)
On dirait deux pieds nickelés qui essaient de parler de cinéma mais qui n’y arrivent pas parce que le réel interagit et cela devient comique finalement. Un espace de jeu se crée au fur et à mesure. (...)
(Philippe Simon) Par rapport à la remarque de l’essence du cinéma, je repensais à cet espèce de trio infernal entre guillemets (celui qui filme, celui qui est filmé et celui qui regarde). Le cinéma (...)